L'impossible 3, suite et fin

Gaëlle Obiégly raconte, page 35, « l’histoire sans morale de deux pas grand-chose qui passent ensemble vingt minutes à se dire presque rien ».

Charles Pennequin écrit, page 42 : « une bonne fois mort on peut engager la vraie conversation, sinon ça sert à rien de causer, tout le reste n’est que blabla, tout le reste c’est de la littérature papa ».

Marie Depussé, page 44, « aime qu’un écrivain, ayant compris que la langue n’avait aucune matérialité, sinon négative, soit  forcé de se battre avec elle pour essayer de dire ce qu’il voit ».

Elizabeth D. Inandiak présente « la servante géante », « toujours occupée à porter et à offrir. Porter et offrir. Par ce geste, elle nous élevait. »

Suzanne Doppelt suit « le somnambule », qui « s’est levé avant de rêver dans les premières heures ».

Et Palomar et Zigomar, avec Delfeil de Ton, « résolvent la crise financière ».

Dessin de Charles Pennequin