21 septembre 2009
On n'arrête pas le progrès, par le Théâtre de l'Imprévu
Quand je vois une affiche annonçant des textes de Boris Vian, de Pierre Dac ou de Raymond Devos, je crains toujours que la salle où se joue le spectacle sente la naphtaline ou ressemble au Musée Grévin. « On n’arrête pas le progrès » me faisait un peu...