12 mai 2012
Mai, mai, mai...
Michel Leiris (encore lui) termine son recueil ( Le ruban au cou d’Olympia ) par une succession d’adverbes parmi lesquels on lit « demain » et « jamais ». J’y vois le mois de mai : deMAIn, jaMAIs. Et, puisque nous y sommes entrés, que la première étape...