
Il nous accueille, Dominique Grandmont, à l’entrée : « Partout n’a pas d’histoire ». Et nous accompagne de page en page, depuis le « coin table fenêtre », passant par le « milieu de cour droite » pour aller « ici comme jamais », passant par « le temps des récits » et ouvrir, à la fin, « à perte de vue ». Et nous rencontrons avec lui des poètes, des ami.e.s que nous saluons, vivants ou morts, mais jamais morts, peut-être par l’usage répété du « ni » (qui me fait...
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