
Dans le numéro 22 de la revue Sarrazine, intitulée Miracle, on trouve, entre autres poèmes, ceux d’Agnieszka Wolny-Hamkalo. Ils sont inscrits dans la banalité du quotidien, dans la rue, à l’arrêt d’un bus, la tête baissée pour se laver les cheveux, au bord d’un fleuve en ville. Mais cette banalité prend de drôles de formes quand on s’y arrête, qu’on l’observe un peu de biais, par exemple avec le regard d’un chien qui mangerait bien le cookie de la dame et devrait le faire avant les oiseaux… Il y a vraiment là une façon d’être dans la...
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