
C’est par une énumération de « si… » que Brigitte Giraud fait revivre toute une période où les téléphones portables n’étaient pas encore dans la vie quotidienne (on laissait des messages sur des répondeurs), où on écoutait des musiques sur des CD ou des vinyles, ou à la radio (sans podcast), où les dépenses se faisaient encore en francs. Pas de nostalgie pour autant. Nous sommes dans cette tension extraordinaire qui précède un drame absolument imprévisible. Elle en cherche la cause dans la succession d’évènements dont elle...
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