
En avançant dans la lecture de ce livre, on comprend qu’il est moins question des pouvoirs que pourrait exercer la lecture sur celui ou celle qui lit que les pouvoirs à l’oeuvre dans la lecture. Et l’auteur de cet essai s’intéresse aux moments de lecture qu’on peut lire dans tel ou tel ouvrage. Qui lit ? Est-ce ma voix que j'entends ? Est-ce celle de l'auteur.e ? Est-ce celles des personnages ? Et qui me dit de lire ? Et si c’est moi-même, que suis-je alors ? Cet esclave dont la disparition affecte Cicéron ou celui à qui Socrate dit...
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