
Des tableaux d’Eugène Leroy, j’en ai vu plusieurs, à Tourcoing, dans l’actuel MUba puis à Paris, dans la collection permanente du Musée d’Art Moderne. Mais je pense n’avoir jamais vu autant d’oeuvres simultanément. C’était peut-être trop. Et pourtant, je me surprends à avoir envie d’y retourner. Comme si je n’avais rien vu. Rien vu des paysages, des nus, des peintures d’après les classiques. Rien vu parce que l’accrochage, thématique, ne donne en réalité pas à voir, mais plutôt à éprouver. Éprouver de l’étonnement, du plaisir, de la...
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