
Il y a des maisons qui parlent du présent de leurs habitants. Et il y a des maisons qui nous plongent dans leur passé. Celle que visite et qu’habite Anaïd Demir après la mort de ses parents va la projeter dans plus d’un siècle d’histoire, le jardin même se souviendra de l’Eden, le bardez arménien ayant des résonances avec le paradeis. Ce n’est pas la seule découverte. Chaque pièce, du grenier à la cave, soulève son lot d’images, de photos, de mots dans des langues différentes, l’arménien, le turc, le français et ce qui remonte ainsi...
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