
C’est à Vitry-sur-Seine que j’avais rencontré Kouam Tawa ; il présentait Nimrod au cours d’une soirée Partage organisée par le Théâtre Jean Vilar au Centre social Balzac.
Dans la soirée à L’Ours et la Vieille Grille, à Paris, il présentait ses textes publiés dans un recueil intitulé Elle(s) chez Lanskine.
C’est le chant d’une femme, fait du chant de toutes les femmes que Kouam a écoutées dans son village du Cameroun, des chants de colère, d’espoir, de douleurs, de volonté…
Certains textes commencent par « J’aurais...
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