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main tenant
1 janvier 2022

Espérer une année sans covid

ooapin-47

La nouvelle année commence aujourd’hui. C’est un jour où on exprime des voeux. Et que pourrait-on souhaiter pour cette année ?  Essayons une année sans covid. Vous savez que le samedi est jour de jeu d’écriture sur ce blog. Sans covid, ce sera donc sans les lettres C, O, V, I, D.

Pas de VOeu, donc, ni de sOuhaIt. Espérer ? Penser ?
Pas de bOnne année. Une belle année ? Une année agréable ?
La santé, assurément.
Aller au bar, en terrasse, au théâtre, sans masque... tant à guetter !

Exemple :
Aux un.e.s et aux autres, j’émets une pensée faste : les aubes transparentes, jaspées les brunes, légères les heures et les pauses sans nuage. Belle année !

C’est à vous main tenant. Sans covid, qu'espérer en 2022. Et postez votre texte dans les commentaires ci-dessous. Merci.

Commentaires
V
Hurler à tue tête la belle année 2022 <br /> <br /> Préférer la fleur à la fureur <br /> <br /> Légère, pâle, éthérée <br /> <br /> Seulement <br /> <br /> Être une plume…
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A
Je transmets à l’assemblée : beautés, mystères, partages pullulants et heureux….<br /> <br /> Un hymne généreux et rythmé, quelques mélanges amusants, surprenants et attrayants. Que 2022 amène aux uns et autres une année superbe et remarquable !
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K
Une superbe année battante: tête haute à l’assaut malgré le mal régnant, et s'engager en une année 2022 faste et belle!
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E
Tu jures la rage aux passés.<br /> <br /> Le tapage tu. Le refus. Au terme l’année,<br /> <br /> Et sa parure usée. <br /> <br /> Le mythe azur s’est fané, <br /> <br /> Sur la pesanteur.<br /> <br /> Stagnent les reflux gras sur les êtres muselés.<br /> <br /> Les têtes enfantent les fragments flexueux<br /> <br /> Les estampes s’apparentent aux âmes bleues.<br /> <br /> Les augures à l’aube égrènent les terreurs surannées<br /> <br /> Et susurrent à ma base les textes transgressés. <br /> <br /> La faute embrume, s’abat en étage.<br /> <br /> Je ressens le pamphlet muet en présage.<br /> <br /> S’empressent les appels larges au néant<br /> <br /> Tu sens le système en sang. <br /> <br /> <br /> <br /> A présent, j’assène les temps lents <br /> <br /> Les lueurs éthérées <br /> <br /> Que luttent à l’heure les murmures amputés<br /> <br /> Les brumes granuleuses <br /> <br /> Sur les tableaux en marge <br /> <br /> Tes paratemps se marquent<br /> <br /> Sur tes prunelles, mes yeux <br /> <br /> Tu pressens les sujets parallèles, <br /> <br /> Altéré en quatre, neuf, sept, peut-être<br /> <br /> Seulement, réel et juste,<br /> <br /> Musqué.<br /> <br /> Reste ta fêlure, suprême.<br /> <br /> Que tes membres tremblent sur mes pas.<br /> <br /> Exhument l’ère aux rumeurs,<br /> <br /> Aux querelles, à la peur, <br /> <br /> Aux effets mats et mûrs.<br /> <br /> L’état brutal, les artères gelées, les sens brefs, les extrêmes purs. <br /> <br /> A ta mesure, je reste un réseau sans axe, <br /> <br /> Latente, étrange, sans regret. <br /> <br /> Prête, j’émerge quelque part.
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F
Je te veux, belle et bien réelle, ma chère sphère suspendue au-dessus de l’absence de nos présences qui le dispute à l’absurde d’une année pauvre et dépourvues de sens. <br /> <br /> 2222, je t’embrasse à bouche que veux-tu, dans ton aube fracassante, ta mélopée effrayante, ton éternelle ébauche.
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