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main tenant
28 janvier 2017

C'est à moi que tu causes ? jeu de Robert Ebguy

Aujourd’hui, nous allons essayer de jouer ensemble.

Vous choisirez, dans chacune des deux listes que j’extrais du livre de Pierre Mabille présenté récemment dans ce blog, trop de monde, un homme.

pmabille 1 pmabille

À chacun, vous attribuerez un numéro de 1 à 6 (un numéro différent pour chaque personnage).

Ces numéros me permettront de désigner les cartes auxquels ils correspondront. Ces cartes viennent d’un jeu publié récemment, intitulé C’est à moi que tu causes, jeu qui provoque des dialogues qualifiés de « surréalistes » par leur auteur, et qui a déclenché, chaque fois que j’y ai joué, des rires, sur chaque carte étant inscrite une phrase que le joueur ne connaît pas à l’avance.

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Pour chaque participant, je déplacerai les cartes sans les regarder préalablement, de sorte que les phrases ne se répètent pas.

J'essaie :
Je choisis l'homme pas méchant juste abruti dans la première liste, et l'homme qui avait peur de son passé dans la seconde liste.
Au premier j'attribue le numéro 5 ; au second le numéro 1.
Après avoir retourné les cartes correspondantes, voici le dialogue qui s'installe :
- l'homme pas méchant juste abruti : "Je ne peux pas être sur tous les fronts à la fois"
- l'homme qui avait peur de son passé : "Nous n'avons plus rien en commun."

C'est à vous main tenant. Je publierai vos répliques dans les commentaires ci-dessous. Merci.

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Commentaires
P
- l'homme mort : "Je me sens un peu à l'étroit dans les parois de mon âme."<br /> <br /> - l'homme qui avait la parole : "Avec un peu de chance, tu auras ton étoile sur Hollywood."<br /> <br /> <br /> <br /> - l'homme pas d'humeur : "Accuser, c'est mentir un peu..."<br /> <br /> - l'homme qui avait le pied marin : "Au fond de vous, êtes-vous un marginal?"
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A
- l'homme médicament : "Le ciel peut attendre, mais faudrait pas trop exagérer non plus." <br /> <br /> - l'homme qui avait la mémoire d'un moustique : "Si je feins la faiblesse, c'est pour mieux vous manger." <br /> <br /> <br /> <br /> - l'homme périmé : "Tu m'as l'air bien habile avec les idées des autres..." <br /> <br /> - l'homme qui avait la fièvre : "Vous avez une langue bien acérée."
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P
- L'homme mis à jour : "Je suis comme le vent, j'éteins les bougies et j'allume le feu."<br /> <br /> - L'homme qui avait la honte : "Ça vous dirait de gérer mes angoisses ?"
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A
- l'homme mal : " Je me suis trompé de route"<br /> <br /> - l'homme qui avait l'air d'une quiche : "Tout est une question de timing"
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