
Le rendez-vous était au Café de la Mairie, Place Saint-Sulpice, à Paris. Premières rencontres, pour moi, avec ces auteurs, avec une revue, Les cahiers de Tinbad. Et je me suis laissé mener par la question du temps :
La première lecture, de Bernard Sarrut, était extraite d’un roman épistolaire, Lettres à l’inconnu(e). La proximité de ma lecture de La carte postale, de Jacques Derrida, a sans doute influencé ma perception, et c’est sur la durée de cette correspondance entre l’auteur et l’inconnu(e) que je me suis fixé :...
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