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main tenant
16 novembre 2013

Les chamallows de Saint-Malo

chamallows

Il y a quelques semaines, dans un article évoquant un spectacle sous chapiteau, j’ai placé les trois mots suivants dans une même phrase : chapeaux, sabots, cadeau. En y regardant de près, vous voyez sans difficulté qu’ils sont faits un peu de la même façon : le son « a » est suivi du son « o », les consonnes diffèrent. Aujourd’hui, je vous propose de faire des textes intégrant des mots construits de la même façon. Faites d’abord une liste de mots où se suivent les sons « a » et « o » (quelle qu’en soit l’orthographe), que ces mots aient deux syllabes ou plus, « a » devra toujours précéder « o », séparés par une consonne ou plusieurs consonnes liées.

Un cArgO sera accepté mais pas un caniveau. Une catégorie sera refusée mais une catAstrOphe acceptée.

Pour composer vos phrases, vous pouvez ajouter des petits mots, de préférence des monosyllabes.

Exemple : Des cArOttes ou des chamAllOws, quoi de mieux pour les AbdOminaux ?

Une fois cette liste faite, composez votre texte et postez le dans les commentaires ci-dessous. Merci.

C’est à vous, main tenant.

Aujourd'hui, vers 12h15, la 104000e visite à ce blog, venue des Etats Unis, est arrivée sur une page de carrés magiques. Merci.

 

Commentaires
M
Après son fado, le chameau passe le chapeau parmi les badauds
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À
Au large des Galapagos, nos deux collabos Sado et Maso font du pédalo. Tout à coup par un fort clapot Sado tombe à l'eau et est aussitôt absorbé et agonisant dans la gueule d'un cachalot. Fou de douleur, seul sur le radeau Maso implore la diabolique Carabosse de le métamorphoser en requin mako afin de venger son acolyte Sado.
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M
une calotte pour calomnie
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G
Pour apporter de la cacophonie, je juxtapose deux voyelles par mot comme dans cette <br /> <br /> légende : " Au Mali à Gao, Mao rit avec son acolyte maori, tous deux sont sur un prao chargé de cabosses et de fèves de cacao. Ils vont descendre le Niger afin de se rapprocher de Bamako. Leur départ est assorti de cris des calaos apposés sur le baobab et traduits ainsi Haro ! Tchao ! ... Haro ! Tchao ! ...n'est-ce pas une cocasse rhapsodie ?".
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P
Son fardeau sur le dos, le badaud s'en va au caveau où il note en argot des ragots qu'il signe de son patronyme.
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