5 août 2011
Août, miscanthe
Le jeu des fleurs Hanafuda, de Véronique Brindeau et Frédéric Clément (extrait)
« De toutes ces herbes vagabondes, la miscanthe dit à elle seule la lande et la lune, la désolation et l’abandon, mais aussi la douceur des lumières qui succèdent à l’été trop brûlant, le renoncement serein du souvenir.
Pleine lune d’automne
dans l’ombre des miscanthes
savourant du saké.
Issa »
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