
Chaque fois que je vois un feu d’artifice, qu’on l’appelle ainsi ou spectacle pyrotechnique, pyromusical, je pense à ces premières lignes d’une nouvelle de David Lodge, intitulée L’avare, publiée dans le recueil L’homme qui ne voulait plus se lever (Editions Rivages).
« Après la guerre, il y eut une terrible pénurie de feux d’artifice. Durant la guerre, il n’y en avait pas eu du tout mais c’était à cause du black-out, et parce que les fabricants de fusées produisaient des bombes à la place. Quand la paix arriva, tout le monde crut...
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